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Quand Disney et Microsoft ne veulent plus de Blancs

Différences salariales et discrimination à l'embauche : des entreprises prestigieuses revendiquent maintenant leur racisme anti-Blancs.

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« À poste équivalent, pour chaque 1000 $ de primes reçues par nos employés blancs, nos employés issus de minorités raciales touchent 1007 $ ». C’est écrit en toutes lettres sur le site de Microsoft.

Comment une telle chose est-elle possible ? Jusqu’où s’étend le problème ? Et pourquoi personne n’en parle, alors qu’il s’agit d’entreprises parmi les plus connues au monde ? C’est ce que nous allons voir ensemble en examinant deux cas d’école du turbo-wokisme : Microsoft et Disney.

Les nouveaux employés de Microsoft (rapport DEI 2023)

Les alphabets de la diversité

CGT, RATP, LGBTQIA+… Les casse-couilles se reconnaissent à leurs sigles et le monde de l’entreprise ne fait pas exception grâce aux normes DEI, ESG ou encore RSE (cf. notre premier article sur le sujet).

Ces nouvelles normes, véritable fer de lance idéologique, poussent les grands groupes à mettre en place des quotas ethniques.

Nulle théorie du complot ici, tout se fait au grand jour. Depuis plusieurs années, les multinationales publient en effet des rapports diversité qui mesurent avec enthousiasme la progression des extra-Européens au sein de leur groupe.


Exemple de statistiques ethniques chez Disney

Les sources du Grand Remplacement

D’une certaine manière, ces rapports d’entreprises sont des indicateurs officieux du Grand Remplacement : des mesures chiffrées de l’effacement des Occidentaux de leur propre pays à travers les statistiques salariales.

Nous avons tous constaté que les visages de nos publicités, films et séries ont changé. France Télévisions a une « clause diversité » qui va dans ce sens. Mais ce qu’on réalise moins, c’est que ces changements ne se limitent pas aux films. Ils impactent aussi le recrutement des employés.

Votre carrière progresse moins vite qu’espéré ? C’est peut-être parce que vous êtes un homme blanc. Vous pensez qu’on exagère ? Étudions la question ensemble.


L’employée modèle selon Microsoft ? (rapport DEI 2023)

Chez Microsoft, des primes réduites si vous êtes Blanc

Page 28 de son très officiel Diversity and Inclusion Report, Microsoft se vante que ses employés blancs touchent moins de primes que les autres et les hommes moins que les femmes, pour le même poste.

Le détail du calcul est précisé : quand les employés blancs touchent 1000 $, les Noirs touchent 1004 $ et les Asiatiques 1012 $. Les femmes, elles, gagnent 7 $ de plus que les hommes aux USA et 3 $ de plus ailleurs.

Injuste ? Non, d’après Microsoft il s’agit d’une « paye équitable ».

On pourrait argumenter que cette différence de salaire est négligeable, mais imaginez le scandale si une entreprise se vantait que ses employés blancs gagnent plus que les autres…

La conséquence de cette politique est lisible page 18 du rapport DEI : entre 2019 et 2023, le pourcentage d’employés blancs est passé de 53 % à 45 % chez Microsoft.

Jusqu’à combien ce pourcentage devra-t-il descendre pour que le système soit satisfait ?


Toujours sur le site de Microsoft, un transsexuel noir raconte sa vie en vidéo.
On aurait préféré un tuto pour configurer sa nouvelle imprimante mais bon…

Disney : le Grand Remplacement salarial

Microsoft n’est pas la seule multinationale à se réjouir de sa politique discriminatoire. Disney, par exemple, est attaqué en justice à cause de pratiques similaires.

Sur le site de la marque, le programme Reimagine Tomorrow suggère indirectement que l’ethnie ou le sexe pourraient être des facteurs motivant l’embauche. Ce tableau, qui provient de la filiale ABC de Disney, est cité comme exemple de conduite à suivre :


(cliquez sur l’image pour l’agrandir)

On y voit que Disney demande des quotas à tous les niveaux, que ce soit comme acteur, scénariste, costumier, réalisateur, etc. :

  • « 50% ou plus de personnages doivent venir de groupes sous-représentés » ;
  • « le directeur du casting doit venir d’un groupe sous-représenté » ;
  • « 50% ou plus de l’équipe complète doit venir de groupes sous-représentés » ;
  • Des stages doivent être réservés pour les groupes sous-représentés ;
  • Etc.

Jouer sur les mots pour éviter les procès

Notez comme le concept de « groupe sous-représenté » est flou. Le document précise, hypocritement, que le contexte est essentiel pour déterminer ce qu’est un groupe « sous-représenté » mais qu’il est interdit d’interroger les candidats sur ce point.

Il faut donc discriminer, mais sans dire exactement sur quelle base. Personne n’est dupe, ce jargon permet de ne pas enfreindre explicitement la loi. « Voyons, monsieur le juge : nous ne refusons pas les Blancs, nous embauchons simplement en priorité des groupes discriminés ! »

Délire bureaucratique, folie woke, ethnomasochisme ? On pourrait s’amuser de ces dérives si elles ne prenaient pas de l’ampleur.


Jeux : comptez le nombre d’hommes blancs dans le futur rêvé par Disney.

D’ailleurs, Elon Musk himself s’énerve des dérives de Disney :

Autre exemple de discrimination chez Disney : ce prix de 25 000 dollars réservé à ceux qui cochent les critères suivants :

  • Être une femme ;
  • Être noir, amérindien, hispanique ;
  • Être LGBTQIA+ ;
  • Être handicapé ;
  • Être « marginalisé religieusement ».


C’est illégal, en France comme aux États-Unis, mais le prix existe pourtant
.

Et toujours cette curieuse habitude chez les wokes de mettre « femme », « Noir » et « handicapé » dans le même panier, comme si être une femme, venir d’Afrique ou être en fauteuil roulant avaient les mêmes conséquences !


Un des groupes récompensés par le Sundance Institute (filiale de Disney) en 2023. Il y a 100 ans, la même marque créait Mickey et Bambi.

Réagir ou disparaître

Ces pratiques semblent encore marginales, mais elles progressent. Elles touchent maintenant des entreprises aussi prestigieuses que Disney, Microsoft, Boeing, IBM ou Ubisoft. Et si la France n’est pas aussi atteinte que les USA, il est probable que les multinationales imposent bientôt ici ce qu’elles cautionnent déjà là-bas.

Ce qui n’était au départ que des normes partant de bons sentiments (un monde du travail plus inclusif pour les handicapés, par exemple) devient aujourd’hui de véritables mesures discriminatoires envers les Blancs.

Qu’en sera-t-il demain ?

Une chose est sûre : plus ces pratiques seront dénoncées, plus les consciences endormies pourront s’y opposer. Parlez de ces scandales autour de vous. Nous rassembler et être conscient de notre identité commune est le meilleur moyen de combattre cette idéologie.


Sur le site de Disney : « Je veux que le monde voie plus de représentation indigène » (évidemment, « indigène » ne signifie jamais « indigène d’Europe »).

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