Les grandes boîtes n’hésitent plus maintenant à jouer la carte de la diversité à tous les étages, comme nous l’avions vu dans nos articles sur les dérives de Boeing et de Google.
Mais une étape supplémentaire semble franchie avec ces révélations sur IBM : des vidéos internes prouveraient que le géant de l’informatique impose des quotas ethniques, frôlant dangereusement avec l’illégalité.
En exclusivité pour Une Bonne Droite, on vous décrypte cette affaire à peine croyable.
Des pratiques discriminatoires discutées en vidéo
Tout commence le 11 décembre 2023, une vidéo interne à IBM est rendue publique par le journaliste indépendant James O’Keefe. On y voit le PDG d’IBM, Arvind Krishna, dire que :
- Les bonus des dirigeants sont maintenant calculés en fonction de leur capacité à remplir des quotas ethniques.
« Il faudrait viser environ 13% de Noirs. »
« Votre bonus en dépend ! »
- Les recruteurs d’IBM qui n’embauchent pas assez de Noirs et de Latinos, mais aussi ceux qui embauchent TROP d’Asiatiques, sont rétrogradés ou carrément virés.
Ces discriminations sont théoriquement illégales aux USA, mais parfaitement dans l’esprit des nouvelles normes de discrimination positive (ESG et DEI) qui gangrènent les industries occidentales. Nous vous en parlions dans notre article consacré à l’industrie aérienne.
Suite à ces premières révélations, une fondation américaine a déposé plainte contre IBM pour discrimination contre les Blancs et les Asiatiques.
En catastrophe, le PDG d’IBM a tenté de se défendre dans une vidéo improvisée… dans laquelle il explique maladroitement que « nous ne sommes pas racistes : nous embauchons 95% de personnes compétentes… et 5% de personnes de couleur pour être plus inclusifs » !
« Nous essayons toujours de respecter la loi, mais… »
Espérons pour IBM que leurs avocats fassent partie des 95% embauchés pour leur mérite, parce que l’entreprise risque d’en avoir besoin.
Des ateliers wokes et anti-Blancs dans les filières d’IBM
Dans la foulée de ces révélations, un lanceur d’alerte diffuse une présentation interne à Red Hat (une grosse filière d’IBM).
Cette présentation est tout bonnement incroyable ! Véritable endoctrinement religieux, intitulée « Les commandements des Alliés », elle apprend aux employés de l’entreprise que « seuls les BLANCS sont racistes » et qu’« il ne faut JAMAIS douter de la réalité de ce que vivent les collègues noirs ».
Document interne provenant de Red Hat, une filière d’IBM.
Autre enseignement : « la BLANCHITÉ est un cercle de POUVOIR + CONQUÊTE + AVEUGLEMENT » et que « les territoires sont déterminés par la race » (tiens donc…).
On y apprend également que le « Noir » est une source d’excellence, de joie, de beauté, d’innovation… mais que le « Blanc » en a effacé la mémoire, ce qui est problématique.
Nous sommes ici en plein délire suprémaciste noir : en mélangeant les civilisations égyptienne ou moyen-orientales à l’Afrique subsaharienne, les ingénieurs d’IBM sont invités à croire que le savoir occidental provient de l’Afrique noire.
Dans la même présentation, il est également dit que « Beethoven était noir » ou que « si votre flux Instagram n’est pas à 50% noir, c’est que vous vous y prenez mal ». Rien que ça !
Des ateliers de lecture anti-Blancs et obligatoires
Cette idéologie se retrouve dans d’autres filières d’IBM. Ainsi les employés de The Weather Company avaient l’obligation de participer à des ateliers où des livres comme White Fragility (Fragilité blanche) de Robin DiAngelo étaient étudiés.
On imagine le jeune geek, passionné par les nouvelles technologies, qui rejoint IBM pour créer les machines de demain, et qui se voit imposer ces réunions d’endoctrinement…
Robin DiAngelo : son livre est étudié au sein d’IBM.
Objectif : embaucher 30% de Noirs et 30% de femmes
Fin décembre 2023, une autre vidéo fuite : cette fois-ci c’est le PDG de Red Hat qui y explique que leur objectif, ainsi que celui de la maison mère IBM, est de recruter 30% de Noirs et 30% de femmes.
Rappelons que nous sommes ici dans le monde de l’informatique. L’immense majorité des personnes choisissant cette carrière sont des hommes, souvent blancs ou asiatiques. Si les recruteurs reçoivent, par exemple, dix CV d’hommes blancs allant du médiocre au très compétent, et un seul CV de femme noire de qualité moyenne… que feront-ils ?
Cette nouvelle employée d’IBM s’assure que votre produit fonctionne sans erreur.
IBM et la fabrique de notre civilisation
Faisons une courte pause pour mieux comprendre l’étendue de ce dont nous parlons.
IBM n’est pas aussi connu du grand public que Google ou Apple, mais il s’agit d’une des plus importantes entreprises au monde. Créée en 1911, on lui doit quelques modestes avancées technologiques, telles que :
- Le premier calculateur numérique universel, en 1944 ;
- Le disque dur ;
- Le mot ordinateur lui-même, imaginé par un théologien catholique sur demande d’IBM France ;
- Les bases de données modernes ;
- Le système de guidage ayant envoyé Neil Armstrong sur la Lune ;
- Le code-barres ;
- La bande magnétique sur nos cartes bancaires ;
- Les fractales ;
- Nos PC de bureau actuels ;
- Le microscope quantique, qui permet de « voir » les atomes ;
- Le laser ophtalmologique (si on vous a corrigé une myopie, c’est grâce à IBM) ;
- etc, etc.
Pour le dire autrement : tout ce que nous utilisons au quotidien, des téléphones portables aux réseaux, en passant par le système bancaire, est lié à IBM.
Bref, nous ne parlons pas ici d’une start-up anodine ! Depuis plus d’un siècle, à IBM, des dizaines de milliers d’ingénieurs blancs ont littéralement façonné le monde moderne. Et aujourd’hui, la civilisation qu’ils ont bâtie les met sur le banc des accusés, les oblige à courber l’échine et à laisser la place à ceux qui n’ont pas été capables de faire mieux qu’eux.
Ce qui se passe à IBM est à l’image de ce qui se passe dans tout l’Occident.
IBM en 1962. L’homme a été sur la Lune grâce à eux.
IBM en 2020. « Célébrons nos différences ». (Diversity & Inclusion Report, page 32)
Notez qu’il ne reste plus qu’un seul homme blanc, relativement âgé…
Mais revenons aux récentes révélations, parce qu’il y en a encore !
Emb(race) : un serment anti-Blancs et pro-diversité
Dans le IBM 2020 Diversity Report, accessible sur le site officiel de l’entreprise, on trouve un serment que les employés sont encouragés à prendre.
Ce serment s’appelle Emb(race) et contient les lignes suivantes :
Je m’engage à mieux comprendre l’expérience noire.
Je m’engage à adopter avec empathie la race et l’ethnicité.
Je m’engage à devenir un Allié.
Vu les documents précédents, on comprend que « Allié » signifie ici « adopter une vision entièrement anti-Blancs » où « seuls les Blancs sont racistes ».
Un système de badges existe pour motiver les employés :
- Badge de l’ambassadeur à l’Égalité
- Badge du champion des Alliés LGBT+
- Badge de l’allié en neurodiversité
Comment recevoir ces badges ? Le rapport donne quelques pistes, par exemple « écouter les IBMeurs noirs qui partagent leur histoire émouvante sur le racisme, les biais, et les préjudices ».
D’après un des lanceurs d’alertes, ces badges ne sont pas officiellement obligatoires… mais sont pris en compte si vous voulez une promotion.
Ce que ce scandale révèle sur notre futur
Au mépris de la loi, IBM récompense financièrement ceux qui embauchent des non-Blancs, organise des présentations ultra-wokes ainsi que des ateliers obligatoires où des livres anti-Blancs sont lus, et distribue des badges aux employés activement pro-diversité.
Ces pratiques ne sont pas des cas isolés mais découlent de la volonté même des dirigeants d’IBM. Elles sont présentes dans toutes ses filières.
Malgré l’importance du scandale, seuls quelques sites conservateurs américains ont, pour l’instant, diffusé ces révélations. Ni la presse française, ni les médias informatiques mainstream n’ont jugé bon d’en parler.
On imagine facilement pourquoi :
- Ces pratiques se répandant à cause des normes ESG/DEI, les dénoncer chez IBM revient à les dénoncer partout ailleurs. Or, pour beaucoup de médias, ces multinationales sont la principale source de revenus publicitaires.
- Surtout, elles vont dans le « bon » sens, celui de la discrimination anti-Blancs (et souvent aussi anti-Asiatiques). Imaginez un seul instant le scandale si une entreprise organisait des ateliers sur la « fragilité noire » et sur le génie des Européens ?! Pourtant, changez la couleur et c’est ce qui se passe chez IBM.
Ces pratiques arrivent en France, et si personne ne les dénonce, elles empireront. La méritocratie, qui engendre l’innovation, est petit à petit remplacée par la diversocratie. Et pour l’instant, rien ne prouve que cette dernière soit capable de produire une civilisation harmonieuse.
Malheureusement cela ne m etonne meme pas . Il me semble que s’est aussi le cas chez la sncf . Car pour sur ils ont un quota au niveau des tranches d âges et sexes