Tout dans les JO transpire la droite : la hiérarchie, le goût de l’effort, la discipline, la beauté ou encore le patriotisme.
Évidemment, rien que la devise olympique est une ode aux valeurs de droite : « Ciltius, altius, fortius » (« Plus vite, plus haut, plus fort »). C’est-à-dire le dépassement permanent et le goût de l’effort, la pulsion prométhéenne qui depuis l’aube des temps pousse les grandes civilisations à chercher la perfection.
La devise olympique.
Hiérarchie
Les Jeux Olympiques sont la célébration d’une saine hiérarchie. Une hiérarchie basée sur la compétition et la victoire des plus forts.
Vous vous défoncez pour être le meilleur ? On vous reconnaît comme tel ! Rien de plus naturel, et pourtant c’est inhabituel dans nos sociétés où l’idéologie gauchiste a rendu toute supériorité suspecte.
Le roi Léon.
Les compétitions sportives sont organisées selon une distinction basée sur le physique : les hommes sont plus forts que les femmes ; un boxer poids lourds écrasera un poids léger, etc, et une séparation des épreuves en fonction. Eh oui : la biologie existe ! On est loin des « constructions sociales » théorisées par la gauche. Les faits, rien que les faits !
Anthony Jeanjean en BMX freestyle, devant l’Obélisque de la Concorde.
Si elle le pouvait, la gauche imposerait dans le sport les quotas dont elle raffole : catégorie LGBT, 30% de médaillés issus de « quartiers en difficulté », malus pour les athlètes trop blancs, épreuve de la plus grosse bombe aquatique pour les nageurs obèses, etc.
Discipline
Nul sportif ne peut atteindre le sommet sans une discipline de fer. Regardez par exemple la routine quotidienne de Léon Marchand : levé à 5h, premier entraînement à 6h, puis 3h de cours, puis repas calibré, puis entraînement intense, puis stretching, musculation, devoirs, extinction des feux à 21h… et ceci tous les jours ! L’excellence est à ce prix.
Ici encore, ce sont des valeurs de droite : « Travailler plus pour gagner plus ». La gauche met au contraire en avant le plaisir (« jouir sans entraves ») et ne supporte pas les contraintes (« il est interdit d’interdire »).
Les escrimeurs descendent les marches du Grand Palais. Ça claque !
Beauté
Que voit-on depuis une semaine ? La beauté de Paris ! Notre époque rabâche que la beauté est subjective et que les bâtiments postmodernes sont aussi admirables que l’architecture néoclassique.
Le triathlon depuis le magnifique pont Alexandre III
Mais lorsqu’il s’agit d’en mettre plein les yeux au monde entier, ce sont les monuments néoclassiques qui sont mis en valeur ! Grand palais, Versailles, Panthéon, ponts haussmanniens, etc.
L’équitation à Versailles. Pas mal non ? C’est français !
Les épreuves de beach-volley devant la Tour Eiffel.
Au-delà des bâtiments, la beauté est aussi celle des athlètes : hommes et femmes attirent les regards par leur jeunesse, leur beauté et leur musculature.
Cassandre Beaugrand (quel nom !), médaille d’or du triathlon.
Tradition et patriotisme
Les Jeux nous viennent de l’Antiquité grecque. En ce sens ils sont le rappel vivant des origines de notre civilisation, de notre passé plurimillénaire. Notre histoire ne commence pas en 1789 !
Comme à chaque édition, la flamme olympique est allumée à Athènes.
Enfin, les Jeux Olympiques sont l’occasion de crier haut et fort son patriotisme. On sort les drapeaux, on hurle la Marseillaise, on soutient ses athlètes : bref, on est patriotes ! La gauche, qui pourtant étant encore nationaliste au siècle dernier, a de plus en plus de mal avec ce principe. La simple vue d’un drapeau français la fait défaillir ! Alors imaginez trois d’un coup :
Podium 100% français en BMX racing !
La gauche dans les JO
Ironiquement, les rares éléments que la gauche a imposé durant ces JO ont systématiquement été des ratages : cérémonie d’ouverture critiquée à cause de l’ajout de femmes à barbes à bites, cantines trop véganes, refus d’installer des clims dans le village olympique (alors que la climatisation alimentée par l’énergie nucléaire n’a quasiment pas d’impact sur l’environnement), etc.
Plus tragiquement, par son immigrationnisme forcené, la gauche est en partie responsable des vols et des viols commis à Paris par la population extra-européenne… qui ont malheureusement touché quelques touristes cette année.
50 ans d’immigration massive imposent une présence policière constante.
Conclusion
La gauche pousse les hommes à s’abandonner à leurs pulsions les moins productives ; la droite récompense ceux qui font l’effort de se dépasser, toujours plus vite, plus haut, plus fort.
Manon Apithy-Brunet, médaille d’or au sabre.
Les JO sont un caillou éternel dans la chaussure de la gauche : même après avoir déconstruit l’éducation et la tradition, même après nous avoir rendu honteux de notre drapeau, ils butent toujours sur ce besoin irrépressible qu’ont les humains de se reconnaître de grands champions issus de leur peuple.