Face à l'importance de l'invasion migratoire, il peut être tentant de baisser les bras. Mais à Une Bonne Droite, ce n'est pas notre vision des choses. On vous explique pourquoi l'optimisme est de mise et comment les Européens s'en sortiront.

Les faits

Avant de commencer à parler des solutions, il faut constater. Le Grand Remplacement, expression forgée par Renaud Camus, est tout simplement la baisse de la part des peuples autochtones/indigènes/blancs européens parmi les habitants de l'Europe ou plus largement de l'Occident.

La France est le pays le plus grand-remplacé d'Europe avec le Royaume-Uni, comme le montrent les chiffres officiels de l'INSEE :

En 2021, la France compte environ 9,1 millions d'extra-Européens sur son sol, soit environ 13,5 % de la population.

Reste donc 86,5 % d’autochtones, mais cette tendance ne risque pas de s'inverser tout de suite, étant donné la plus grande fertilité des immigrés et de leurs descendants, et surtout l'immigration de peuplement/colonisation que nous subissons en continu.

Selon l’Insee, 39 % des enfants de 4 ans et moins sont issus de l'immigration (y compris européenne). Un proxy est le prénom de naissance des enfants. Toujours avec les données de l'Insee, compilées par Fdesouche, on tombe sur 22 % de naissances musulmanes en France en 2022.

On est bien loin des chiffres fantasmés par certains sites identitaires qui vont jusqu'à prétendre que les peuples européens seraient bientôt minoritaires en France. 13,5 % de colons ou de descendants de colons, c'est largement réversible ! La preuve : l'Espagne.

L'exemple espagnol

La quasi-intégralité de l'Espagne a été occupée pendant 7 siècles par les Maures musulmans. Les Espagnols ont subi cette colonisation violente et inhumaine (expropriations, citoyens de second rang, esclavage, viols, etc.) pendant 7 siècles !

Et pourtant, les Espagnols vont se battre pendant des siècles à partir de 722 pour récupérer leurs terres et leur indépendance : c'est la Reconquista. Elle s'achève en 1492 avec la prise de Grenade, marquant la fin du Moyen Âge et le début de la Renaissance.

Depuis, l'Espagne est redevenue 100 % chrétienne et presque 100 % européenne. Pendant les siècles de colonisation, les Espagnols ne se sont pas mélangés aux Maures. Si bien qu'aujourd’hui, seulement moins de 5 % des Espagnols ont du sang maure.

Cet exemple (et il y en a d'autres, comme les Balkans) montre que ce qui compte, c'est l'absence de mélange avec les populations colonisatrices. Tant que les autochtones restent entre eux et conservent leurs traditions, ils survivent des siècles sous occupation, puis se réveillent, et enfin récupèrent leurs terres.

L'importance du non-métissage

Rien n'est perdu d'avance ! Pour savoir si la France et l'Europe sont perdues, il faut savoir si les Européens se mélangent avec les colons. Le proxy : des statistiques venant des États-Unis. Et roulement de tambour, les femmes blanches sont à 98 % avec des Blancs !

Ainsi les femmes blanches sont les plus fidèles à leur peuple et ne se mélangent presque jamais. Oui, c'est contraire au dogme médiatique et aux publicités cosmopolites, mais c'est la réalité.

Ensuite, même les Blancs de gauche fuient les territoires colonisés, comme le montre cette récente étude sur le white flight (fuite des Blancs) aux États-Unis et au Royaume-Uni. Les gauchistes blancs veulent bien des immigrés, mais pas près de chez eux.

L'espoir

Le mélange génétique et culturel à grande échelle est impossible, malgré la propagande remplaciste. Alors imaginez si elle cessait ! Les autochtones veulent majoritairement rester entre eux et n'en peuvent plus de se faire coloniser, comme le montre ce récent sondage CSA :

Il faut aussi démonter le mythe d'une supposée natalité délirante des non-Européens. Après une à deux générations, le taux de fécondité des immigrés baisse drastiquement. Le Grand Remplacement est avant tout un phénomène migratoire.

On ne peut pas faire de simples projections du type : « Il n'y avait presque aucun extra-Européen il y a 50 ans, aujourd'hui ils sont 13,5 % de la population, donc dans 50 ans nous serons minoritaires. » Si on arrête l'immigration maintenant, la tendance se stoppera net.

La solution communautaire

Prenons l'exemple des Amish aux États-Unis. Ces chrétiens très religieux ont en moyenne 6-7 enfants par femme. Ils étaient 6 000 en 1900, ils sont 320 000 aujourd'hui et seront 300 millions dans 200 ans s'ils maintiennent leur taux de fécondité.

Conclusion

Notre mort n'est certainement pas programmée d'avance et rien n’est joué. C'est le statu quo qui nous tue. Les dirigeants sont remplacistes, il faut en changer. La culture de masse est remplaciste, il faut la détruire.

Les peuples européens ne veulent plus d'immigration. Seules les élites bloquent. Il faut appuyer toutes les révoltes, même celles de gauche. Dans les révolutions, les élites en place s'en vont et un certain nombre d'aspirations du peuple finissent par être appliquées.

En attendant, comme le prônent Nicolas Faure ou Daniel Conversano, l'important est de rester entre nous, de conserver notre langue, notre culture, nos traditions, y compris à l'étranger, et de faire suffisamment d'enfants. La démographie fluctue, les tendances se retournent souvent.

Si nous faisons cela, dans le meilleur des cas nous récupérerons nos terres à un moment donné. Les Européens ont prouvé par leur histoire qu'ils avaient les ressources pour surmonter n'importe quel obstacle et accomplir leur destinée.

Dans le pire des cas, nous subirons le sort des Amish pendant quelques siècles, en attendant la Renaissance : vivre en autarcie, loin des colons qui nous détestent. C’est humiliant, mais ce n'est pas si terrible.

Jean Lessalle

Cet article est une adaptation de ce thread Twitter. Merci à Jean Lessalle de nous avoir donné l'autorisation de le publier ici.