Hommage
Matisse Marchais avait 15 ans et il était 17h ce samedi après-midi d’avril lorsqu’il a agonisé sur un trottoir de Châteauroux. Son meurtrier est un Afghan du même âge ; il poignarde Matisse à plusieurs reprises dans un déferlement de violence insoutenable. La mère du meurtrier est présente et elle frappe elle-même Matisse quelques instants avant sa mort.
Le mobile ? Une simple dispute suite à une battle de rap freestyle. L’Afghan n’aurait pas supporté l’humiliation de sa défaite.
Ce drame n’était pas tout à fait une première pour cet Afghan connu pour violences : mis en examen quelques semaines plus tôt pour un vol aggravé commis en guet-apens, il a été laissé liberté sous contrôle judiciaire. Ce meurtre a révélé une vérité difficilement soutenable : un étranger mineur qui vole avec un couteau en février peut tuer un adolescent en avril.
Matisse, lui, était un adolescent sans histoire. Mais Matisse a eu la malchance de vivre dans un pays qui protège davantage les criminels que leurs victimes. Comme si cela ne suffisait pas, après sa mort, Matisse a été doublement victime : après avoir été poignardé à mort, il a été symboliquement jeté en pâture par les médias dominants qui ont relayé sans discernement la version de son meurtrier, salissant l’image d’un jeune garçon qui méritait pourtant qu’on honore sa mémoire.
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