Benoît

Une soirée d’été, une casquette volée, une tentative pour la récupérer… et puis la mort.

Benoît Vacelet avait 17 ans. En ce mois de juin 2025, il venait de passer son CAP, venait d’obtenir son code, mettait de l’argent de côté pour sa première voiture. L’été s’annonçait comme il devrait toujours l’être à cet âge : insouciant, plein de projets, de fêtes entre amis, de petits boulots, de liberté.

Bref, Benoît était un garçon normal. Mais il vivait en France.

Ce soir du 31 mai, à Dax, Benoît ne veut pas laisser passer le vol de sa casquette. Il décide de la récupérer. Ce qu’il ne sait pas encore, c’est que ce voleur est un réfugié, défavorablement connu des services de police. Et surtout, armé. Benoît se fait poignarder au pied de l’immeuble, il s’effondre et il succombera à ses blessures.

Alors qu’ils se préparaient à fêter ses 18 ans, une semaine plus tard, c’est finalement son enterrement que ses parents ont dû organiser. Ce qui devait être une fête est devenu un adieu…
Sa mort est un déchirement. Pour sa famille, ses proches, mais aussi pour nous tous : car Benoît est un nom de plus dans cette funeste litanie des innocents assassinés par la racaille, qu’elle soit protégée, naturalisée, ou « réfugiée ». Oui, son meurtrier présumé avait le statut de réfugié. Nourri, logé, protégé… et finalement meurtrier.

Il faut le dire clairement : tout le monde ne considère pas la vie humaine de la même façon. Ce qui nous bouleverse, d’autres s’en amusent. Et Benoît est une nouvelle victime de la violence importée, tolérée, subventionnée.

Merci à son père, Thierry, d’avoir trouvé la force de parler. De dire la vérité. De dire sa rage. De dire que tout cela aurait pu – aurait dû – être évité. Dans un pays où tant de familles de victimes se taisent, ce courage mérite d’être salué.

Justice pour Benoît – et pour tous les enfants que la République ne protège plus.